Stage peche a la mouche vêtements techniques

Je présente ici quelques éléments techniques sur le choix des waders, vestes, chaussures de wading et matériel de sécurité, ainsi que des considérations sur les vêtements techniques pour pêcher en altitude ou sous des latitudes septentrionales afin de réussir vos séjours de pêche de la truite et de l’omble de fontaine à la mouche en Autriche – Tyrol Oriental ou un séjour de pêche de la truite fario et arc en ciel à la mouche en Autriche – Tyrol Occidental ou un séjour pêche de la truite arc en ciel sauvage et de l’ombre commun à la mouche en Autriche – Carinthie ou vos voyages de pêche à la mouche à l’étranger en Europe .

Tarifs des prestations par jour et par personne : 200 € si une personne), 150 € (si deux personnes), 130 € (si trois personnes), 120 € (si quatre personnes). Cliquez sur ce lien actif pour voir le contenu des stages.

Stage de lancer de la mouche et de pêche a la mouche et stage « Spey cast » vêtements techniques : waders, vestes, chaussures de wading et matériel de sécurité :

Voici quelques éléments techniques à propos des vêtements destinés à pêcher avec de bonnes conditions de confort et de sécurité. En effet, pour pêcher les eaux rapides du Morvan ou les rivières puissantes à truites arc en ciel sauvages de la Drau en Autriche – Carinthie et à saumon en Ecosse ou en Irlande qui s’écoulent sur un sol parfois glissant, il vaut mieux être bien équipé pour pêcher confortablement et éviter la baignade. De plus, il faut savoir qu’il faut toujours choisir ses vêtements assez amples pour une plus grande liberté de mouvement. Par exemple, lors de l’essai d’un waders, il faut faire une flexion et s’accroupir pour vérifier que les coutures ne soient pas étirées, car c’est à cet endroit qu’il peut y avoir une faiblesse pour l’étanchéité. En outre, il ne faut pas hésiter à prendre pour les chaussures 1 ou 2 tailles supplémentaires par rapport à votre pointure habituelle. Un exemple vaudra mieux qu’un long discours : pour mon équipement, alors que je chausse du 41, mes chaussures Simms G3 Guide Vibram (2021, masse de 970 g pour une chaussure cloutée avec 8 clous étoilés) ont une pointure de 43 pour recevoir le chausson en néoprène de mon waders G3 Guide Simms (2011 avec 5 couches sur les jambes) de pointure 42/44 ou mon waders Simms G4 Pro Stockingfoot Slate (2022 avec 4 couches sur les jambes) de pointure 43. Pourquoi une telle différence ? Eh bien ! Tout simplement, pour recevoir toutes les couches supplémentaires de vêtements techniques Woolpower qui me permettent de pêcher dans des conditions optimales (avec une double chaussette de 200g et 400g et un double caleçon de 200g et 400g en laine Mérinos, si nécessaire). Enfin, il en va de même pour le choix de la taille au tour de poitrine du waders (XLS) qui doit être suffisamment large afin de recevoir éventuellement trois couches de vêtements chauds et il s’ensuit que la veste Simms G3 Guide Jacket (2021 XL) doit être également choisie en conséquence pour couvrir tout cela et assurer du même coup avec aisance tous les mouvements que nécessitent par exemple les différents lancers Spey Cast pour la pêche du saumon.


MATERIEL DE SECURITE :

Pour évoluer en wading (en marchant dans l’eau), il faut savoir qu’il existe, d’une part, une bonne manière pour rentrer dans l’eau à la fois pour être discret et pour éviter une chute à partir de la berge ; et, d’autre part, qu’il y a aussi une bonne manière pour progresser en marchant dans l’eau, indépendamment de l’utilisation d’un bâton de wading, pour sortir d’un pool et remonter sur la berge. En outre, sur certaines rivières, ce ne sera pas un luxe d’avoir vissé des clous Simms Hardbite Star Cleat et Alumibite Star Cleat sur les semelles Vibram de ses chaussures de wading. Le bâton de wading est effectivement le premier outil indispensable de sécurité, surtout lorsqu’on ne connaît pas bien la rivière fréquentée. J’ai choisi un Pafex en aluminium qui a été également sélectionné par l’équipe de France de pêche à la mouche. Il est réglable de 80 cm à 130 cm, solide, et a une masse à son extrémité de 150 g (?) [cela n’est pas suffisant ; il faut lui rajouter 280 g avec 7 plombs d’équilibrage de pneus de 40 g] pour être maintenu en place dans le courant d’une rivière puissante comme la Spey. Son extrémité ainsi lestée est également protégée pour ne pas faire de bruit sur les cailloux avec de la durite. Un deuxième élément de sécurité est nécessaire, pour ne pas dire vivement conseillé, et parfois même obligatoire sur certains parcours : il s’agit d’un gilet de sauvetage gonflable en cas de chute qui se déclenche lors d’une immersion d’une dizaine de centimètres et de quelques secondes sous la pression exercée par l’eau. Cette collerette à déclenchement hydrostatique munie du système « Hammar » doit pouvoir également être mise en oeuvre manuellement. Un troisième petit instrument de sécurité complétera le smartphone, si celui-ci ne passe pas ou s’il a pris l’eau : un sifflet d’arbitre (120 db) qui vous permettra d’alerter une personne si vous êtes accidenté et immobilisé en faisant le S.O.S. en morse (trois coups brefs—trois coups longs—trois coups brefs). Ces quelques conseils sont développés et précisés lors de mes stages Spey cast ou de lancer spey ou de mes stages spécifiques de pêche en eaux rapides dans le Morvan, ou pour préparer un voyage de pêche en Autriche dans le Tyrol occidental ou oriental.

Voyage de peche à l’étranger et stage Spey cast — vêtements techniques : pêche dans des conditions climatiques rudes ou latitudes septentrionales :

Voici quelques éléments à propos des sous-vêtements et vêtements techniques pour affronter le froid, la pluie et le vent en toute sérénité. En effet, la pêche en réservoir présente surtout un intérêt avant l’ouverture de la pêche de la truite sauvage en rivières (fin février/début mars) ou après la fermeture de cette dernière (à partir de la mi-septembre, en octobre, novembre et même décembre ou janvier) lors d’un stage pêche de la truite à la mouche en réservoirs. Il en est de même lorsque l’on veut pêcher le saumon dans les Highlands lors des remontées de printemps assez tôt dans la saison (mars, par exemple) ou lors des montaisons d’automne en fin de saison (septembre, octobre, par exemple). Pareillement, lorsque l’on veut pêcher l’omble de fontaine en altitude dans les Alpes autrichiennes ou l’ombre adriatique dans les Alpes juliennes en Slovénie, en septembre, octobre. Dans tous ces cas de figure, il faut s’habiller chaudement sous son waders et sa veste coupe vent. Pour ce faire, il faut prendre des conseils auprès des nations qui sont soumises au froid et qui ont par la force des choses de l’expérience en la matière : les pays scandinaves ou les contrées montagneuses avec de l’altitude, par exemple. Toutes adoptent le même système des multi-couches de vêtements : la 1ière consiste en un sous-vêtement qui a pour fonction d’évacuer la transpiration ; la 2ième couche intermédiaire assure l’isolation thermique ; la 3ième couche est la pour repousser le vent et l’eau (c’est la fonction d’une veste et d’un waders respirants Simms) ; et enfin, on peut même rajouter dans certaines circonstances une 4ième couche en polaire par dessus la deuxième couche. Nous avons testé en conditions réelles plusieurs types de produits et notre choix s’est porté sur des vêtements en laine de moutons de race Mérinos, dont les qualités techniques naturelles sont supérieures aux vêtements en polaire.

Voici le lien d’une entreprise suédoise (agréée par les armées suédoise et norvégienne) où vous pourrez télécharger et consulter en ligne le manuel présenté ci-dessous : Woolpower Östersund